Salut la Cie,
Comme tu peux le constater sur la photo ci-dessous, ma pièce « La vie est une fête ! » est dans une enveloppe. Sa destination ? Une grosse maison d’édition. Si celle-ci plaît et que le livre sort, j’aurais le plaisir d’être l’auteur d’une 19ème pièce publiée à titre professionnel.
J’ai souvent réfléchi à sortir les pièces qui sont des mes tiroirs sous forme de livre auto édité, mais non seulement, c’est un vrai investissement pour avoir des livres de qualité, mais ça te coupe d’un certain nombre d’aides et soutien possibles. En effet, le Centre National du Livre (CNL) soutient les auteurs qui sont publiés chez des professionnels. Grâce à cela, le CNL a soutenu trois de mes pièces à l’époque où j’étais édité par la si regrettée Sandrine Fay, et j’ai pu aussi, passer 4 mois de résidence dans le Gers, à la maison des écritures de Lombez, entre 2011 et 2012.
Mais il ne faut pas se leurrer, le théâtre, ça se vend mal, moins que de la poésie. Le public qui achète sont souvent des pros de la profession. Ou alors le public qui achète un souvenir de la pièce à la sortie du spectacle. Il est donc important de suivre sa propre actualité… Parce que oui, « La vie est une fête ! » va avoir, dans les mois à venir, une sortie sur les planches. Tout est signé, mais gardons un peu de surprise pour les semaines à venir et je ne manquerai pas de te faire sûrement un podcast pour te raconter l’histoire du texte, qui le monte, avec qui, etc.
Mais comme me dit tout le temps mon Emeric, grand frère, grand phare, « petit pas après petit pas »…
En tout cas, sache qu’elle est entre de bonnes mains et si aujourd’hui, je te fais ce billet, c’est simplement, pour qu’avec moi, tu croises un peu les doigts en espérant une sortie du livre pour accompagner la sortie de la pièce…
Avec hâte de t’en dire plus tout bientôt.

Croisons les doigts !
J’ai vu votre pièce jouée jeudi dernier dans une petite salle par des lycéens. C’était…. extraordinaire! Votre texte, choisi par ces jeunes impliqués à fond. J’avoue avoir été très remuée et avoir bien pleuré à la fin. Et je crois bien que je n’étais pas la seule. Je les ai remercié; je vous remercie aussi.
Christine