M’a-t-on vu dans le Vercors ?

Salut la Cie,

Par le titre de ce billet, je pense que tu auras compris où je t’emmène. Depuis quelques jours, je me suis remis dans les oreilles « Fantaisie Militaire » d’Alain Bashung. Simplement parce que j’y reviens souvent et parce qu’à Noël, un cadeau précieux a été un intégrale de cet album stratosphérique. Evidemment, je ne vais pas revenir dessus et dire à quel point cette galette a changer la face de la chanson française (meilleur album de tous les temps aux victoires de la musique, si je ne m’abuse), d’autres s’en sont occupés bien avant moi.


Cette pochette, quoi…

Alors, peut-être que si, à cette usine à tubes qu’est « Fantaisie Militaire » j’aurais une petite tendance à préférer « L’Imprudence », l’album qui a suivi (et d’ailleurs le dernier album de Bashung, on ne peut pas considérer « Bleu pétrole » comme son dernier opus, je refuse…), plus sombre, plus exigeant, plus âpre. Mais c’est juste une histoire de goût, un truc super subjectif de mec mélancolique.

Bref.

Je suis tombé sur l’article suivant que je te partage et ça m’a donné envie de faire un petit billet sur « Fantaisie Militaire », mais un peu plus sur, évidemment, la plus grande chanson de tout les temps (oui, oui, c’est subjectif, pas la peine de me dire que telle ou telle chanson est mieux…), « La nuit je mens ». Je pense que mon Cd saute à la piste 2 tant j’ai poncé cette merveille. Et en lisant cet article, même si je le savais déjà, mais Bashung, s’il n’était pas un génie, avait du génie. Du génie pour s’entourer avant tout, comme les plus grands l’ont fait avant lui (Bowie avec Eno, ne serait-ce que lui ou Jackson avec Quincy Jones…) et pour moi, Jean Fauque est un immense auteur de chansons. Son duo avec Bashung l’ont fait passer de l’almanach Vermot de la chanson française (son boulot avec Boris Bergman se basait sur le jeu de mots un peu rigolo) à la finesse et au double sens avec élégance.

Tu liras ce qui suit pour comprendre un peu mieux le processus de travail autour de ce texte « monstre » comme il l’appelle. Mais pour moi, pour un petit jeu, n’hésite pas à me dire en commentaire, ici ou sur les réseaux où tu auras lu mon petit billet, quelle est, toi, ta chanson préférée sur cet album.



Auteur : Lilian Lloyd

Auteur, metteur en scène, scénariste, comédien, compositeur pas encore mort (1973-2000 et des poussières)

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.