» Je tourne autour de ça, toujours. Je le regarde comme un objet étranger, comme un sentiment qui ne m’appartient pas. Qui ne m’appartiendra jamais. Je l’étudie comme un écho aux angoisses, comme une résonance à la peur. Il est là ce « ça » et ne me quitte pas des yeux. Alors, je l’écris, le décris, comme pour le mettre à distance parce qu’il m’effraie à bien des égards, sur bien de ses égarements. Jusqu’ici, que sais-je de « ça » ? Rien, sinon que c’est moi. «