» Je me surprends à me surprendre. Je regarde autour de moi et je crois que je comprends tout, mais tant que je ne le verbalise pas, c’est comme si je ne le saisissais pas. Lorsqu’enfin une synapse libère l’hormone adéquate et que tout me paraît plus clair, je me surprends. Tout comme je me surprends à croire des gens pas croyables, à aimer au-delà de mon raisonnable, à être un garçon qui s’use les doigts à vouloir devenir un homme pour [te] plaire. Je me surprends à dire un manque qui a ton image. Et si ça arrive tard, ce n’est pas de ma faute, souviens-toi, c’est la synapse qui a du retard. «