Durant les semaines à venir, je vous propose de découvrir le dernier texte que j’ai écrit durant le marathon que je me suis imposé en 2009, à savoir, une pièce par mois pendant un an.
J’ai terminé. Salement. Mais j’ai terminé.
Je posterai au fur et à mesure cette pièce assemblées de textes, de créations, de monologues, de poésie et vous la livre, nue, brute…
Voilà ce qu’il y avait en exergue.
»
Nous sommes en décembre 2009 à l’heure où j’écris ces lignes.
Depuis le début de l’année, j’ai fait ce pari, peut-être insensé, d’écrire une pièce, au moins un texte, par mois. J’ai tenu le rythme. Je termine ici avec ce recueil qui s’est dessiné durant deux années d’écriture sur mon blog. Il y a là, sûrement, je le sais, des bribes de moi, des choses plus personnelles et aussi des orientations pour des pièces que j’ai pu écrire durant tout ce temps.
En les relisant, je les annote et ils me renvoient à d’autres envies, et de nouveaux mots, des dialogues peut-être vont venir s’y greffer. Je commence mon travail ici, à quelques jours de Noël, sans bien savoir où je vais me diriger, ni quelle couleur tout cela prendra. J’y pars fleur au fusil, comme on dit, avec autant de mots pour conclure cette année folle et épuisante, comme si j’allais chercher, enfin, le mot, celui-là, le vrai, le bon, celui de la fin. »
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« … Le voilà, le silence. Il faut encore un orage, du bruit et la suite coulera d’elle même. Constater les dégâts et se dire qu’il y aura tout à reconstruire, mais pour une fois, se dire que cela ne se fera plus sur une page blanche, mais enfin, dans la vraie vie… »