« … Tant qui m’échappe. Les gens, les choses, les interrogations, ce qui vient, ce qui n’est plus… les sentiments… Les pas se font lourds dans les sables émouvants et mes espoirs n’ont plus la force de projeter quoique ce soit, n’importe quel petit émoi à plus d’un lendemain. Parfois, à genoux, immobile, j’en viens à souhaiter que ce soit la dérive des continents qui me fasse avancer…
A priori, ça risque d’être long… »