« Moi, j’écris tout ce que je suis et il n’y en a pas un pour le voir. Je me promènerais une arme à la main, dans la rue, que le premier con qui passe me demanderait du feu pour sa clope. Ma tête inspire confiance. D’ailleurs, je ne peux pas trop tarder là, j’ai le bon Dieu en confession dans cinq minutes. »
dégainer sa plume et tirer à vue,sur tout ce qui bouge qui nous enmerde…on en ferait un polar indigeste,du déjà trop vu.
alors ?retourner l’arme contre soi?certainement,et a s’accuser sans cesse de tous les maux ça ne serait que légitime défense.
essayons,mais ou viser?
-l’estomac,là ou il y a la boule.mais n’en sortiraient que mots bileux,et le tout s’avèrerait tout aussi indigeste.
-plus haut(le mal par le mal).exploser sa cervelle,décortiquer et essayer de trouver les arguments pour sa defense et valider son port d’arme.
pas question de tirer a blanc…du réel…s’écrire et se lire, d’avoir trop voulu afficher sa cible criblée pas mal s’en sont lassé…Alors?tourner la page et se relever?