« … Je tourne autour de ça, toujours. Je le regarde comme un objet étranger, comme un sentiment qui ne m’appartient pas. Qui ne m’appartiendra jamais. Je l’étudie comme un écho aux angoisses, comme une résonance à la peur. Il est là ce « ça » et ne me quitte pas des yeux. Alors, je l’écris, le décris, comme pour le mettre à distance parce qu’il m’effraie à bien des égards, sur bien de ses égarements. Jusqu’ici, que sais-je de « ça » ? Rien, sinon que c’est moi… »
nous sommes certainement quelques uns à tourner autour de çà…
a planer au dessus de ce que l’on est a bien veiller a notre image au paraitre,a marcher a coté de soi a s’accompagner,mais pour tout dire on se brule les ailes,on marche a coté de ses pompes et lorsque l’on est dedans il y a toujours ses petits cailloux…on voile l’image avec eloquence.est-ce donc embrouille ,bluf…ambivalence à tutoyer l’incoherence…
et ce çà l’écrire à vous qui allez lire,pour vous qui certainement ne le liront pas…à elle qui a la patience de lire
prenez et buvez,ceci est…
le reste,vous ne l’aurait pas
la patience des buffles sous la pluie…
-qui mène la danse?
-douleur