Soyons Pragmatique !
et faisons le point. Ca fait longtemps que j’ai pas mis les points de suspension sur mon activité pour venir ici. Alors, je prends un peu de temps pour bilanter quelques choses. Je dois avouer que les dernières semaines ont été mouvementées et ce n’est pas fini, tant mieux quelque part. Louis a chopé deux directeurs de casting pour les deux premiers scénarios et sur « Des espoirs en bandoulière », on a déjà l’accord d’un comédien internationnal… Moi, j’ai levé un premier sourcil… Quand je dis internationnal, j’entends par là qu’il joue dans les films américains et se verrait bien dans ce film-ci… Pour l’accompagner, on a ciblé quatre comédiennes françaises. On attend les réponses pour le moment. A priori, des choses devraient bouger avec Cannes, c’est du moins ce que l’on espère.
En attendant, je m’attaque à une énorme falaise. L’adaptation de trois de mes pièces dans un seul scénario. « Y’a des nuits… », « Lavage délicat » et « Joyeux anniversaire quand même ». Mon cerveau se fait des clés de bras à trouver des liens, mais c’est assez génial de voir combien tous ces personnages évoluent dans la même ville. Mon vieux rêve de mettre tous mes petits bonhommes dans un seul et même bouquin prend forme quelque part… Suite au prochain numéro.
Au théâtre… 487, c’est le nombre de spectateurs qui sont venus voir les amateurs d’Amathéa sur la pièce « Un cadavre exquis ». Et ce n’est pas fini, vendredi à 14h30, nous sommes dans le festival de Maisons-Laffitte (8ème année consécutive) et puis le 17 mai, c’est l’audition pour le festival de Paris. Donc, bon, le bilan est plus que positif pour cette première pièce avec ce groupe. Nous ferons le bilan dans quelques jours, mais je pense que c’est bien parti pour une seconde année avec eux. L’accueil du public a été très bon et je crois que la pièce fonctionne bien, malgré ses longueurs.
74, c’est le nombre de pages pour la pièce de ML. 59, c’est le nombre de pages après réécriture avec lui. C’est en bonne voie. Il aime la pièce et est content du boulot. Réussir à plaire à un mec qui a 35 ans de scène, ça rassure sur ses compétences. Rien n’est gagné, je continue. Parce que, de toutes façons, par nature, dans ce métier, rien n’est jamais gagné et j’ai pas écrit « les Ch’tis »…
J’ai trouvé le sujet de la pièce pour les Théatropathes, après six mois d’atelier ensemble. Pas beaucoup le temps de m’y pencher pour le moment, mais j’ai enfin le bon bout. J’espère l’écrire courant juin pour commencer à bosser dessus à la rentrée prochaine. C’est sûr que l’on va aller dans un autre univers…
Avec Jimmy et son seul en scène « Les preuves d’amour », tout va bien. Nous avons commencé les répèts et la petite salle des Déchargeurs est en vue. La présence de Maud sur scène qui jouera du piano apporte beaucoup de relief et je crois énormément à ce spectacle. Pour Jimmy d’ailleurs, c’est un gros investissement personnel et c’est bien, je le sens avec une grinta que j’aime voir chez les mecs qui veulent s’arracher de la galère.
Et puis, il y a eu « Y’a des nuits… » version Fribourg, en Suisse. Je leur passe ici le bonjour et je salue de nouveau leur travail qui m’a beaucoup plu. Même si la pièce était plus longue que prévue ;o) Pour une fois que je vois l’un de mes textes en langue étrangère… Et que je comprends le tout ! Bravo encore à vous et j’espère à très vite pour « Les mâles heureux », peut-être ?
Un coucou aussi à Caroline Mouton. Après l’avoir vu dans la série « La cour des grands », je suis super heureux pour elle et je voudrais tant qu’elle soit tout en haut, pour son talent, sa générosité, son humanité. Je pense aussi à Lucie et son bébé, Sigo en Corse sur sa planche et ses feuilles blanches qu’elle noircies. Et avec Caro, c’est sur le slam qu’on travaille ensemble désormais. On se prévoit une scène dans un bar d’ici quelques semaines… Ah ah ! Scoop, hein ? ;o)
Fallait aller jusqu’au bout, vous voilà récompensé. Le lien vers sur myspace bientôt.
Allez, j’y retourne.
L.
premierement mon cher lilian, je remarque que le seul commentaire que tu as mis sur mon blog avait pour but de critiquer mes goûts musicaux et audiovisuels (cependant un petit message pour me dire combien je te manque et à quel point je suis une personne formidable ne m’aurait pas été désagréable) Bref !
Il faut savoir que je suis particulièrement attachée à ce film (et surtout le passage, enfin la chanson de Louis Garrel au moment où il se fait prendre par le Breton) et ce pour raisons… hum personelles.
Mais que veux tu, je suis jeune et folle.
(Et hummmm je viens de découvrir une chanson de Benjamin Biolay, un chef d’oeuvre ;) !)
Sinon je vais bien, merci de t’en inquieter.
Allez, tchuss mon grand.